Voilà un résumé d’une méthode que j’ai mis au point l’année dernière ! Bonne chance, mais ne nous faisons quand même pas trop d’illusion, c’est une méthode qui gagne toujours, sauf quand elle perd !

Supposons que l’on mise une pièce sur le Rouge

1^ère boule, on mise une pièce. Nous en sommes donc à une pièce de déficit.

C’est le noir qui sort. Nous avons perdu une pièce.

2^ème boule. On mise une deuxième pièce sur le rouge. Notre déficit est maintenant de deux pièces/ Si le rouge sort, on a deux pièces, le déficit est couvert, notre première partie s’achève avec un gain nul.

Le noir sort à nouveau, nous avons perdu deux pièces.

3^ème boule: On mise à nouveau une pièce sur le rouge. Notre déficit est donc de trois pièces.

Le rouge sort! Nous avons deux pièces sur le tapis, mais notre déficit n’est pas encore comblé, c’est là que nous utilisons l’argent du casino pour construire notre montante en gain:

4^ème boule: On laisse les deux pièces sur le tapis en espérant que le rouge sorte de nouveau. Si le rouge sort, on aura quatre pièces et nous aurons ainsi une pièce de gain sur cette partie.

C’est le noir qui sort! On continue la partie.

5^ème boule: On mise encore une pièce sur le rouge. Notre déficit est alors de quatre pièces. Si le rouge sort deux fois consécutives, la partie s’arrête sur un gain nul.

C’est le rouge qui sort, nous avons deux pièces sur le tapis et l’on recommence notre montante en gain.

6^ème boule: Comme pour la quatrième boule, on laisse porter les deux pièces qui sont sur le tapis. Notre déficit est toujours de quatre pièces.

Pas de chance, le noir sort de nouveau! Statistiquement, une série de deux boules gagnantes consécutive se produit une fois sur quatre. Ici la série de deux boules gagnantes a du retard.

7^ème boule: On mise une autre pièce sur le rouge. Notre déficit est maintenant de cinq pièces. Une série de deux boules gagnantes ne serait pas suffisante pour combler notre déficit. Nous allons avoir besoin maintenant d’une série de trois boules gagnantes consécutives!

Le rouge sort: Nous avons maintenant deux pièces sur le tapis et nous recommençons notre montante en gain.

8^ème boule: Nous laissons donc porter les deux pièces qui sont sur le tapis. Notre déficit est de cinq pièces.

Le rouge sort. Nous avons quatre pièces sur le tapis, dont trois proviennent du casino et une seule de notre poche.

9^ème boule: Nous laissons porter les quatre pièces sur le tapis. Si le rouge sort une troisième fois consécutive, nous empochons les huit pièces qui se trouvent sur le tapis et nous réalisons un gain réel de trois pièces. Si le noir sort de nouveau, nous recommençons pour aller chercher une série de trois boules gagnantes. Et ainsi de suite.

Il est intéressant de noter que nous en sommes à la dixième boule, et que notre déficit n’est que de six pièces. Ceci nous donne un gros avantage sur le roulette qui statistiquement présente une série de trois boules gagnantes toutes les huit tentatives. Nous présentons donc un déficit inférieur au bénéfice statistique que nous offre la roulette.

En moyenne, une boule sur huit est le début d’une série de trois boules gagnantes. Dans la pratique, cette série peut être à l’heure (à la huitième boule), ce qui nous procure un gain de plusieurs pièces, avec un petit retard, ce qui nous permet de solder la partie sur un petit gain ou même un score nul, ou en avance, ce qui procure un gain plus intéressant. Si la série de trois boules gagnantes se présente trop tard pour éponger notre déficit, peu importe, nous irons chercher la série de quatre boules gagnantes, ce qui se produit statistiquement toutes les 16 boules. Et ainsi de suite. En fait, plus on perdra, plus nos chances de gagner gros augmentent, d’où le nom: " Qui perd, gagne! "

Reste à prévoir le cas du zéro, et on aura une méthode de jeu convenable.

Mais un peu lente: une seule pièce de jeu à chaque boule, des séries longues à venir, et des gains limités par le plafond de la table....

Or, pendant que l’on perd sur le Rouge, on gagne, bien sûr sur le Noir. Pourquoi ne pas exploiter cette alternative?

Pour éliminer tout cela, la lenteur du jeu, le risque du zéro et le plafond de la table, nous allons utiliser cette méthode sur les six chances simples à la fois: Rouge, Noir, Pair, Impair, Manque et Passe.

Nous allons en fait utiliser un fond de jeu commun pour faire fonctionner six méthodes de jeu en parallèles sur les six chances simples.

Pour la première boule, on devra donc miser une pièce sur chacune des chances simples. Ce qui est ridicule. Nous allons donc seulement le faire EN THEORIE, sur notre petit papier.

Notre papier comportera seize colonnes:

- la Permanence des numéros

- la mise sur Noir

- le découvert de Noir

- la mise sur Rouge

- le découvert de Rouge

- la mise sur Pair

- le découvert de Pair

- la mise sur Impair

- le découvert d’Impair

- la mise sur Manque

- le découvert de Manque

- la mise sur Passe

- le découvert de Passe

- le montant de la mise

- le montant du gain

- le solde général.

Les trois dernières colonnes ne seront utiles que dans la période d’exercices théoriques que nous ferons chez nous pour nous entraîner. Une fois dans un vrai casino, ces trois colonnes deviennent totalement inutiles puisque le solde du compte est évident lorsque l’on regarde le nombre de jetons qui nous restent dans les mains!

On commence par noter les six mises du premier coup, accompagnées des déficits correspondants.

Sur le Noir, 1, -1, sur le Rouge 1, -1, sur le Pair, 1, -1, etc.

Les chances Rouge, Impair et Passe nous ont REELLEMENT rapporté une pièce de gain chacune que nous avons perdues en jouant Noir, Pair et Manque mais que nous récupérerons lorsque ces trois chances gagneront à leur tour.

La partie du noir se termine également: deux pièces misées, deux pièces gagnées, la partie est nulle.

Les parties Noir et Passe sont terminées, mais Pair est à la recherche d’une série de deux coups gagnants puisque le découvert est de trois pièces. On va donc laisser porter les deux pièces gagnées à Pair.

Cette fois-ci, on mise donc une pièce sur Rouge, et une sur Manque.

Aucune mise n’est à faire ce coup-ci. Si le zéro sort maintenant, l’impôt aura complètement disparu!

Pair recommence une nouvelle partie, mais on va laisser porter les gains obtenus à Rouge et à Passe pour combler les déficits.

On ajoute une pièce sur le Rouge et une pièce sur Passe.

Pair a encore gagné! Et pourtant, on ne ramasse rien! C’est normal, les gains obtenus par Pair seront ramassé lorsque Impair gagnera.... Il est important de bien comprendre cette notion d’interdépendance des deux chances dans tout le déroulement de notre jeu. Ce qui est merveilleux, c’est que l’on obtient des gains sur Pair/Impair sans faire la moindre mise!

On ajoute donc une pièce sur Rouge et une pièce sur Passe, et on aura sur le tapis 3 pièces sur Rouge et 3 pièces sur Passe, en raison de la différence 4-1.

C’est le zéro qui sort!

Viola le zéro, bête noire de tous ceux qui misent sur les chances simples!

Et bien, quand le zéro sort, c’est simple, il n’y a rien d’autre à faire que de la noter sur notre papier!

C’est le 16 qui sort.

On a ajouté une pièce fictive pour le Noir, Impair, et Passe qui ont perdu avec le zéro, et on a gardé le même découvert sur les autres chances. Il ne reste sur le tapis que 3 pièces sur Rouge.

Rouge termine sa partie sur un score nul, et pourtant on ramasse 6 pièces! Ce sont les gains accumulés par Noir qui rentrent maintenant.

La partie Rouge repartant à zéro, on ne misera rien sur Rouge ou Noir, par contre, on misera une pièce sur Impair où on ira chercher une série de trois coups gagnants et sur Manque où on ira chercher une série de deux coups gagnants.

Et ainsi de suite....

On trouvera en annexe des exemples de notes prises sur des parties réelles dans les casinos. Il est évident qu’il faut absolument bien maîtriser ce système de notation avant d’aller s’aventurer dans un casino.

Pour s’entraîner, on peut se servir d’une petite roulette que l’on trouve dans n’importe quel magasin de jouets ou tout simplement d’une permanence existante.

Si l’on suit une comptabilité précise de l’évolution d’une partie, on s’aperçoit que dans la plupart des cas, on commence par un petit gain de 10 ou 20 pièces, puis on aborde un découvert. Ce découvert, dans certains cas n’eccède pas les 20 pièces mais peut aller jusqu’à 60 ou 80 pièces. Ce n’est qu’aux alentours du 150° ou 200° coup que l’on peut parler d’une réelle rentabilité de la méthode, généralement d’une centaine de pièces à ce niveau. A ce moment là, on peut choisir d’abandonner là la partie ou de continuer.

Continuer, cela veut dire re-plonger à nouveau pour remonter par la suite encore plus haut. Mais cela veut aussi dire aller chercher des séries de sept, huit ou neuf coups gagnants au lieu des cinq ou six de la première partie du jeu!

Le choix sera fonction de la patience de chacun, de son fond de jeu et surtout le résultat des tests personnels effectués avant de partir au casino.

En tout état de cause, il serait imprudent de s’aventurer dans une salle de jeu avec moins de deux cent pièces de fond de jeu, bien que cette méthode présente le gros avantage que les pièces misées ne sont pas réellement perdues puisqu’elles qu’elles sont systématiquement remboursées lorsque la longue série de coups gagnants se produit, ce qui arrive de toute manière un jour ou l’autre.

Personne ne nous empêche d’aller au casino avec un fond de jeu réduit, en sachant que " Qui perd, gagne " et que si la mise disparaît aujourd’hui, elle est en fait investie. Il sera toujours possible de retourner un autre jour, dans une semaine, un mois ou une année pour continuer la partie et récupérer les investissements...

Quoiqu’il en soit, il ne faut pas s’affoler lorsqu’une chance prend un retard de 200 ou 300 pièces. La série de 9 coups gagnants se produira tôt ou tard, et procurera 512 pièces de gain! Et si le découvert dépasse 512, on ira chercher 1024! Pendant ce temps là, les autres chances continueront de rapporter et le déficit REEL sera faible, voire inexistant.

Il faut bien noter que si, sur les six chances, une ou deux seulement prennent du retard, la partie rapporte de l’argent et ce sera le Jack pot lorsque la longue série arrivera. Si trois chances sont en retard, les trois autres continueront à fonctionner et le déficit réel n’augmentera pas, mais on ne gagnera rien ou presque. Lorsque quatre chances ou plus seront en retard, cela nous coûtera au plus trois pièces par coup joué, en attendant qu’une chance veuille bien refaire son découvert.

Nous allons voir maintenant une petite amélioration de cette méthode de jeu qui va améliorer sensiblement la rentabilité sans en affecter les risques et les découverts. Nous allons en effet " tricher " un peu par rapport à la méthode de base, mais cette " tricherie ", rassurez-vous va améliorer les performances de notre méthode au point d’en doubler parfois sa rentabilité!

Autre avantage, cette tricherie nous apportera un certain confort de jeu très appréciable. De plus, elle nous permettra de jouer à demi-pièce, c’est à dire que l’on pourra jouer à 5 F sur une table à 10 F, jouer à 12,5 F sur une table à 25 F etc. avantage considérable lorsque que l’on voudra faire des essais sans prendre trop de risque.

Il s’agit simplement de miser seulement une seule fois à chaque attaque, mais à double pièce: à chaque fois que l’une des chances comporte le chiffre " 2 ", alors que l’on devrait normalement, en suivant la méthode de base, poser une pièce sur le tapis, on posera une double pièce, soit deux fois la mise de base. Et c’est tout!

Inutile de continuer à poser une pièce après chaque coup gagné, le casino s’en charge puisque la mise de base est plus importante.

Chaque gain est alors amélioré de deux pièces supplémentaires, quant aux pertes, si elles sont un peu plus importantes (une pièces) lorsqu’elles interviennent au premier coup, elles sont équivalentes au deuxième coup, et plus faibles par la suite!

Plus facile à jouer et nettement plus rentable, cette modification est à adopter immédiatement sans la moindre hésitation, le système de notation restant exactement le même

Dernière amélioration qui procure encore un " plus ". Un petit rien qui améliorera les performance de notre méthode de 20 à 30 %. On n’arrête pas le progrès!